Vous le savez, nous étions très nombreux à manifester pour que la Garantie de Revenu Aux Personnes Âgées GRAPA (IGO) soit RÉELLEMENT GARANTIE à TOUS LES ALLOCATAIRES qui ont été reconnus éligibles à ce régime, SANS AUCUNE CONTRE-PARTIE !
Dans notre reportage, ci-joint, on comprend mieux les « pourquoi » des « comment » et surtout, la Ministre marque tout son engagement pour faire en sorte que l’infamie des contrôles cesse.
Déjà, elle est claire, en attendant son texte de « réforme de la GRAPA », les contrôles des « Grapistes » sont supprimés jusqu’à la FIN SEPTEMBRE.
Parallèlement à ce reportage, vous trouverez le lien vers un podcast d’une émission diffusée ce week-end sur la 1ère de la RTBF où vous entendrez une Gangstère en Colère, Nicole Tonneau, qui s’exprime sur les contrôles dégradants;
Et, surtout, vous entendrez aussi une peau de vache déguisée en fleur, Odette Alves, animatrice/rédactrice d’un magazine de Forest (BXL) – « Amour et sagesse » – colporter des rumeurs, des mensonges et des faux bruits sur un soi-disant « fraudeur à la GRAPA, qui lui aurait tout avoué après s’être enfui définitivement à l’étranger »…
Bien sûr, Odette ne sait plus ni le, ni les noms du (des) fraudeur(s), ni combien ils étaient. Bien sûr, cette vieille dame affirme et se plaint de tous ceux qui trichent, alors qu’elle ne peut rien prouver !
C’est ce genre de personne, menteuse et affabulatrice qui diffuse le fiel des aigris et propage les contrevérités des jaloux pour exciter les sots. Écouter les slogans de cette vieille commère, c’est comprendre pourquoi nos politiques – trop souvent électoralistes (comme Vandenbroecke- Vooruit) avaient introduit en 2009 ces contrôles infâmes, avilissants et discriminatoires qui doivent être rayés de la GRAPA à tout jamais.
Heureusement, lors de cette émission, la journaliste (Vinciane Colson), la Gangstère en Colère (Nicole Tonneau) et même l’autre rédactrice (Christine Miara) remettent les fakes émis par cette personne à leur niveau de ragots d’égouts.
Malheureusement, Beaumarchais le savait quand il écrivait… « Médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose » !